lundi 28 juillet 2014

Après le décolleté plongeant, Zahia ose le top transparent

Décidément Zahia enchaine les fashion faux pas ces derniers temps. Après avoir porté une robe bien trop moulante à la fashion week Haute Couture ou avoir opté pour un décolleté XXL loin d'être élégant, Zahia récidive. Cette fois-ci, la bimbo blonde a posté une photo sur Twitter avec un haut taille 6 ans (c'est elle qui le dit). Mais, il semblerait que son cardigan soit encore taillé trop grand pour répondre à ses attentes vestimentaires. La jeune créatrice a des idées bien précises quand il s'agit de parler mode. Si cette première anecdote se doit d'être relevée, c'est un autre détail qui risque de choquer les Twittos. Le haut (trop petit) de Zahia ne serait-il pas un peu trop transparent ?

jeudi 12 juin 2014

Mehdi Nemmouche fixé le 26 juin sur son éventuelle remise à la Belgique

Mehdi Nemmouche, soupçonné d'avoir tué quatre personnes fin mai au Musée juif de Bruxelles, sera fixé le 26 juin sur son éventuelle remise aux autorités belges, a indiqué jeudi la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Versailles.
« Je ne m'opposerai pas à une remise » aux autorités belges « si la Belgique me certifie qu'elle ne m'extradera pas vers un pays tiers », a déclaré ce Franco-Algérien de 29 ans lors d'une audience qui a duré près de quarante-cinq minutes.
Son avocat Apolin Pepiezep a évoqué un « risque de transfert ». « Il est possible que M. Nemmouche soit extradé de la Belgique vers un pays tiers », a-t-il estimé. Deux personnes mortes dans la tuerie du 24 mai étaient israéliennes, les deux autres étant une retraitée française et un employé belge.
« MON CLIENT EST FRANÇAIS »
Jusque-là, le suspect, interpellé le 30 mai à Marseille dans un autocar en provenance de Bruxelles en possession d'armes similaires à celles de la tuerie, s'était fermement opposé à la remise demandée par la Belgique. « Mon client est français, il a été interpellé en France et une des victimes est française », a réaffirmé à l'audience son avocat, disant préférer un procès devant une juridiction française.
Impassible, le visage fermé et portant une barbe de trois jours, le suspect a juste fait un clin d'œil à des membres de son entourage en arrivant dans la salle, escorté par les hommes de la sécurité de l'administration pénitentiaire. Mis en examen et placé en détention notamment pour assassinats, il ne s'est toujours pas exprimé sur les faits qui lui sont reprochés.